En 1767, Jean Chastel, un simple paysan, met d'un coup de fusil fin aux massacres qui ont ensanglanté le Gévaudan pendant 4 ans. La Bête est morte, et son cadavre, envoyé à Paris, disparait rapidement.
De nos jours : un scientifique, biologiste et passionné de la Bête, rencontre Margeride, une jeune femme qui possède une relique incroyable : un fragment de peau qui aurait appartenu à la Bête. Ils tentent de cloner l'animal, mais l'expérience est un échec.
Pourtant, un an plus tard tout recommence comme 300 ans auparavant : massacre d'animaux, meurtres d'enfants, femmes mutilées : et si La Bête était de retour ?

Et ben voilà comment on craque sur une chouette couverture, et qu'en plus on tombe sur une super histoire qui tient en haleine du début à la fin. Loin de faire dans le sanglant et le sensationnel, c'est plutôt la froideur, le détachement avec lequel le narrateur décrit les massacres de La Bête - Le retour- qui ajoute encore à l'atmosphère glaçante du roman (ah oui ça caille sévère l'hiver en Gévaudan )
Et en plus d'imaginer un "retour" plein de parallèle avec le passé, le roman apporte une explication plutôt crédible à un des plus grands mystères de l'Histoire : Qu'était donc la Bête du Gévaudan ?

Vraiment bien fait !

Je pense que je vais pas à tarder à craquer pour ce livre

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Après la pluie le beau temps!