Pour ceux qui ont aimé "Nostradamus et le dragon de Raphael" sortira en novembre:
Les rapines du duc de Guise (même auteur, c'est-à-dire moi!, éditions J.C. Lattès), début d'un trilogie dont les volumes 2 et 3 sortiront au début 2009.
Vous y retrouverez M. de Bezon, et bien sûr cette chère amie de Catherine de Médicis.
Amitié à toutes et tous.
Ps: Je serai à Sablet (et à Nice).

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Jean d'Aillon
Auteur
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skype: aillon.j

Merci pour ces infos, pour en savoir plus (oui je suis curieuse et alors ...) je suis allée fureter sur votre blog

En novembre sortira le premier tome d’une série en trois volumes :

La guerre des trois Henri.

Ce cycle policier et historique commence en 1585, l’année qui suit la mort du duc d’Alençon, le dernier frère d’Henri III.

Après cette mort, Henri III reste le dernier Valois et n’a pas d’héritier. Deux hommes, deux partis, veulent prendre le royaume de France : Henri de Guise et les princes Lorrains, catholiques fanatiques, et Henri de Navarre, héritier selon la loi salique, mais protestant.

Ainsi, après trente ans de guerre civile dont le paroxysme a été l’épouvantable massacre de la Saint-Barthélemy, la France reste plus divisée que jamais.

En 1585, Henri de Guise va rassembler toutes les forces catholiques et la petite bourgeoisie des villes qui déteste le roi à cause des impôts trop lourds et forme la Ligue. Henri de Navarre, lui, cherche seulement à ne pas être écrasé dans l’Ouest de la France, et à regrouper l’ensemble des forces protestantes qui ne le reconnaissent pas encore comme chef.

Arithmétiquement, Navarre n’a aucune chance de s’imposer, car Henri III est contraint de s’allier à Henri de Guise, pourtant, en quatre ans, il parviendra à renverser le rapport de force en sa faveur. A la fin de 1589, Guise et le roi de France assassinés, Henri de Navarre devient roi sous le nom de Henri IV.

Si son succès est dû à son habileté, il s’explique surtout par le rassemblement d’hommes et de femmes venant d’horizons différents et qui ont choisi de se retrouver auprès d’un homme tolérant qui aimait à dire : Catholique ou protestant, peu importe à mes yeux et ceux qui suivent leur conscience sont de ma religion. Quant à moi, je suis de celle de tous ceux qui sont braves et bons.

C’est leur aventure que nous allons raconter. Au fil des pages, le lecteur croisera Catherine de Médicis, le marquis d’O, Michel de Montaigne, les Gelosi, comédiens italiens, le futur duc de Sully, Philippe du Plessis-Mornay, Nicolas Poulain, lieutenant de la prévôté de l’Île de France, M. de Richelieu, père du cardinal, Cosimo Ruggieri, astrologue de Catherine de Médicis, Jacques Clément, moine jacobin.

Les trois volumes de 500 pages chacun environ sortiront aux éditions J.C. Lattès suivant ce calendrier approximatif :

Les rapines du duc de Guise (novembre 2008),
La guerre des amoureuses (février 2009),
La fin des Valois (juin 2009),

Au delà, des histoires avec les personnages du roman seront publiées au coup par coup, mais auparavant, Louis Fronsac sera de retour dans :

L’homme aux rubans noirs (J.C. Lattès),
Le secret de l’enclos du Temple,
Le collège fantôme.

Le blog de Jean D'Aillon

Je ne sais pas où poser ma question...vous pouvez déplacer mon post les modos.

Pour quelqu'un qui n'a jamais lu un seul livre de cet auteur ...oui, je sais, j'ai honte, mais les romans historiques ne m'attiraient guère fut un temps. Puis on a su me convaincre, merci les plumes!
Donc, ma question, par où faut-il démarrer, et dans quel ordre?

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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... j'ai la certitude d'être encore heureuse.
Julette Renard.


Plus une eau est pure, moins il y a de poissons. (proverbe chinois)

Je n'ai lu que les Ferret de la reine, ou il est question de la jeunesse du hèro "récurant" de Jean d'Aillon Louis Fronsac, et il me semble que si on veut se lancer dans cette série c'est un bon début. L'intrigue ne dévoile en rien ce qui va ce passer pour Fronsac dans les livres déjà parit.

Ensuite il y a tous les livres indépendants ou là j'ai le même soucis que toi Dup ... Donc si Jean est d'accord il nous prépare une petite sélection pour Sablet

A peine arrivé sur le forum qu'il a déjà du boulot

Bon, je vais tacher de mettre la main sur les ferrets de la reine avant Sablet alors histoire de paraitre moins crasse

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Plus une eau est pure, moins il y a de poissons. (proverbe chinois)

Je viens de relire tous les topics du forum sur les livres proposés ici...si l'auteur n'a pas le temps de nous faire "l'historique" de sa biblio, peut-être que notre frère Guillaume pourra lui, car il semble un fan de première

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Plus une eau est pure, moins il y a de poissons. (proverbe chinois)

Je viens de poser la même question dans la section "Question de lecteurs"...

Sinon tu as aussi Nostradamus et le Dragon de Raphaël qui est indépendant .

Bon les enfants, j'ai fait 5 posts sur Jean d'Aillon. A lire d'urgence !

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Nul n'y parvient qui n'a combattu dans les règles

Lus, mais ça ne réponds pas à ma question cher moine

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Julette Renard.


Plus une eau est pure, moins il y a de poissons. (proverbe chinois)

Pour compléter le mot de Raven, je dirai qu'à mon avis, le prinicpal ennemi de Henri III était la ligue plus que le Béarnais qui, replié sur la Rochelle, voyait fondre ses territoires. Le Duc de Guise était lui tout puissant.
L'assassinat de celui-ci, ordonné par Henri III, brouilla définitivement ce dernier avec la ligue pour qui il était désormais l'homme à abattre. Tendre la main au Béarnais était donc un geste politique assez sage.
Unis, les rois de France et de Navarre triomphèrent des Ligueurs. Ceux-ci n'eurent plus désormais qu'une solution : faire assassiner Henri III, ce qui fut fait par le moine Jacques Clément (qui lui n'était pas un bon moine !).
Et Henri III mourant désigna Henri de Navarre, le Béarnais, comme son successeur.
Il y a chez le nouveau roi un mélange de Don Quichotte et de Sancho.
Il le démontre lors de la bataille d'Ivry où il doit encore gagner sa couronne.
"Ralliez-vous à mon panache blanc" dit-il et on le voit à un moment de la bataille presque seul avec quelques cavaliers à un lieu qu'il a auparavant désigné comme point de ralliement. Dès que le panache blanc est aperçu, les troupes du Béarnais se ruent en avant et brisent le retour offensif de la cavalerie des ligueurs qu'ils mettent en fuite.
Le panache ...

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