Au Pays, Premier Tome de la SAGA DES EMMIGRANTS
Auteur: Vilhelm MOBERG
Édition: Livre de Poche
Littérature Suédoise
Quatrième de couverture :
Voici l'histoire des premiers pionniers suédois partis conquérir l'Amérique et comment leur vint l'idée de s'expatrier : Kristina et Karl Oskar, jeune couple héritier d'une terre aride qui ne parvient guère à nourrir les huit bouches de la maisonnée ; Robert, le frère de Karl Oskar, un contemplatif qui aspire à la liberté... placé comme valet de ferme alors qu'il ne rêve que de l'Amérique ; son compagnon d'infortune, Arvid ; l'illuminé Danjel Andreasson, digne héritier de son ancêtre condamné pour hérésie ; et la catin du village, Ulrika de Västergöhl, dont on se détourne quand on la croise, mais qu'on vibre de visiter la nuit, incognito... Les paysans du Småland, province du sud-est de la Suède, vivaient paisiblement de leurs terres. En dehors des naissances, des mariages, des enterrements, ils ne connaissaient guère d'autre péripétie que l'alternance des saisons. Vers le milieu du xixe siècle, cet ordre immuable commença à trembler sur ses bases. Les terres sans cesse divisées par les héritages vinrent à manquer. Et les échos venus d'au-delà de l'Océan donnèrent des envies de liberté. Au pays est le premier volume de l'épopée de ces gens ordinaires animés du soufße de l'aventure et du formidable espoir de recommencer leur vie.
Mon avis :
C'est toujours terriblement excitant de commencer à lire une saga historique. Les personnages sont attachants et on a envie de suivre leur évolution. De plus je ne connaissais pas ce pan de l'histoire : celle des premiers pionniers suédois. Je suis terriblement fan. Cette saga est divisée en 8 tomes regroupés en 5 romans. Je les lis au compte goutte.
La traversée, Second Tome de la SAGA DES EMMIGRANTS
Auteur: Vilhelm MOBERG
Édition: Livre de Poche
Littérature Suédoise
Quatrième de couverture :
Sur les quais de Karlshamn, la Charlotta s'apprête à appareiller. Karl Oskar est soucieux. Le navire censé assurer leur émigration vers les états-Unis d'Amérique est en bien piteux état. Quant à Robert, son rêve de grande aventure s'en trouve un peu ébréché. Même Kristina ne tarde pas à partager ces pensées.
Il fut un temps où la Charlotta était un noble navire de commerce et non un vulgaire transporteur d'émigrants, cette engeance qui s'entasse dans l'entrepont et n'a décidément jamais le pied marin. La vie à bord n'est que tourments : la promiscuité, la saleté, les poux, le scorbut et le mal de mer s'acharnent sur les passagers. Le capitaine Lorentz, vieux loup de mer aigri et solitaire, le sait bien, lui qui prévoit un boisseau de terre de Suède en vue de simuler des funérailles qui se termineront inéluctablement au fond de l'eau.
Après Au pays, La Traversée est le récit d'un voyage qui ne devait durer que quelques semaines. Un voyage au bout de soi, une douloureuse épreuve dans la fabuleuse destinée de ces émigrants
Mon avis :
La belle histoire continue. Des paysans qui ont toujours vécu sur la terre ferme, partis pour plus de 2 mois sur l'océan avec son lot de tempête. Une très belle oeuvre.