Quand Marc Dubreuil arrive à Limoges en 1847, c’est un gamin misérable, prêt à tout. Mais il a un don. Et un jour il s’imposera comme le Rimbaud de la peinture sur porcelaine, le grand maître des arts du feu, au prix de sacrifices inouïs, de patience, d’entêtement...
Quand j'ai lu le quatrième de couverture je pensais lire la vie de China et en fait non. C'est la vie de son père Marc Dubrueil qui nous est racontée. L'auteur nous fait faire un bond dans le Limoges du 19è siècle, berceau de la porcelaine. Dubreuil est un artiste qui a du mal à trouver sa voie. Jusqu'au jour où il rencontre son maitre, celui qui lui apprendra le métier de la peinture sur porcelaine.
Sur ce, arrive un américain qui monte la plus grande fabrique que Limoges ait connu. China, elle aussi, est une artiste mais je trouve que son personnage est terriblement en retrait de cette histoire. L'auteur s'intéresse à elle à environ une centaine de pages de la fin.
Je trouve cela dommage.