Bonne surprise, j’avoue que j’avais un peu «
Peur » de commencer ce livre et oui je fais partie des rares personnes qui n’avaient du tout accrochés à «
La nuit interdite »
C’est donc avec une légère appréhension que j’ouvre ce livre.
Et là le miracle à lieu, je ne m’endors pas (
désolée private joke ) et même mieux je rentre directement dans l’histoire. Mourir de peur, cette expression n’a jamais été aussi juste. Je m’imaginais déjà dans une pièce avec des centaines de mygales, quoi qui a dit mais c’est pas mortel
… C’est ma phobie à moi d'abord !! et cette image ne m’a plus quittée durant tout le livre donc merci monsieur Serfaty de nous avoir épargné celle là …
Alors bien sur ce n’est pas encore le grand amour entre Erick Flamand et moi (
peut-être est ce du au fait que j’ai été élevée en Wallonie Désolée pour ce jeu de mot pourri :roll:) mais dans ce volume ci il est plus étoffé, plus mûre c’est certain. Mon coup de cœur revient à Laura, même si parfois elle m’agace et en fait trop, j’adore son côté tête brûlée, fonceuse, un peu brute (
elle me fait parfois penser à quelqu’un …) la relation entre elle et Marina est très intéressante, elles se complètent un peu comme le yin et le yang, le calme et la tempête.
Abordons maintenant le côté médical de la chose, cette aspect là aussi me faisait peur (
décidément c’est le titre qu’il fallait pour ce livre ;o) je l’avais trouvé trop présent et trop pesant dans le 1er, ici c’est tout le contraire, les explications sont claires, rapides et précise. Le médical ne prend pas la place de l’intrigue, il ne fait que la rendre encore plus dense.
En gros le pari de Thierry Serfaty est parfaitement réussi dans mon cas
Bravo :o)