J'éprouve un étrange sentiment à la fin de ma lecture.
J'ai aimé ! BEAU-COUP !!! J'en redemande !
Mais je ne m'attendais pas à ça.
Je pensais lire un huis-clos jusqu'au bout. Du coup, je suis un peu déstabilisée de ne pas avoir eu ce que j'attendais.
Finalement, le huis-clos ne tient "que" la moitié du roman.
A l'inverse de grip, un peu déçue de l'histoire de Léa.
J'ai rapidement deviné que Émile était mort, mais pas de cette manière. Je pensais plus à une mort subite ou quelque chose comme ça.
J'arrête avec mes spoilers (désolée).
Les personnages sont bien campés et en effet, tout comme grip, j'ai retrouvé des similitudes avec Karine Giebel.
J'ai particulièrement appréciée Germaine !! Quelle répartie !
J'aime toujours autant ce qu'écrit Barbara Abel et même si certaines choses m'ont un peu déçue, je reste quand même ravie de ma lecture ! J'aurais aimé en lire encore et encore...
Un gros coup de cœur pour la citation ci-dessous, qui malheureusement me fait un peu penser à ce que la société d'aujourd'hui nous force à faire :
Citer :
Se réfugier dans l'indifférence, imperméable aux attaques.
S'extraire des émotions qui affaiblissent.
Se barder d'une armure d'arrogance pour ne plus souffrir.