Dévoré aujourd'hui avec beaucoup de plaisir... De compassion aussi, pour le calvaire d'Aurore, dont la vie semble être une succession de pièges qui se referment sur elle, pour atteindre leur paroxysme avec son entrée en hôpital psychiatrique...

La fin du livre est surprenante

Par contre j'ai trouvé que la 4è de couverture en disait un peu trop...

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Je ne sais pas ce qui est beau, mais je sais ce que j'aime et je trouve ça amplement suffisant.
(Boris Vian)

Contente qu'il t'ai plu...



4ème de couv :

Avril 1978. Aurore Barbé, à la suite d’une dépression, se retrouve internée en hôpital psychiatrique. Plongée dans l’univers déstabilisant de malades mentaux gravement atteints, elle parvient malgré tout à suivre une thérapie qui semble efficace. Cependant, alors qu’elle s’estime rétablie, on ne souhaite pas l’autoriser à sortir. C’est sûr ! quelqu’un lui veut du mal. Paranoïa ? schizophrénie ? délire ?… Qui peut accorder un semblant de crédit aux dires d’une folle ?… Seul son mari, Thomas, tentera de démêler le vrai du faux. Au cours de son enquête, il devra remonter jusqu’aux origines d’Aurore et faire la lumière sur la personnalité inquiétante d’une certaine Berthe. Y parviendra-t-il avant qu’il ne soit trop tard ?…

Cette phrase peut-être (et encore, ça ne dit pas grand chose) mais c'est difficile d'en dire assez pour susciter l'envie sans trop en dévoiler...

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«Il y a comme ça des jours où on se demande si Dieu ne boit pas.»
Pierre Desproges