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Contrairement à beaucoup de lecteurs, je n'avais pas accroché au premier roman de Donato Carrisi, Le chuchoteur.
Quant j'ai eu l'occasion de lire La maison des voix, je me suis dit pourquoi pas retenter l'expérience.
Et bien m'en a pris, car j'ai passé un bon moment, même si j'avais deviné une partie de l'intrigue assez tôt dans le roman, sans, pour autant avoir toute la finalité (ce qui n'est pas plus mal).
Le roman est assez court et se lit très vite, il explore les souvenirs d'enfance, les secrets, etc...
Bref, une lecture agréable !

Honte à moi! Pour je ne sais quelle raison, alors que je connaissais cet auteur par ouï-dire, je n'avais jamais ne serait-ce que jeter un coup d'œil à ses livres. Et pourtant, qu'est ce que j'ai entendu parler du Chuchoteur...et puis je me suis aperçu que c'était une série et j'avoue en avoir déjà entamé beaucoup avec des personnages récurrents...jusqu'à tomber sur Je suis l abysse et La maison des voix. J'ai décidé de jeter mon dévolu sur ce dernier...et bien m'en a pris. Jadore ce type de romans gigogne où à chaque chapitre, tout est remis en cause, comme dans Obédience de Will Lavender. Il est impossible de lâcher ce bouquin, happé comme des insectes à une lampe que nous sommes. Nous sommes comme Pietro Gerber, le héros psychologue, baladé tout du long jusqu'au retournement final, bien amené. Rien à dire, du travail d'orfèvre. Résultat, m'attends sur les étagères, la suite La maison sans souvenirs avec ce héros finalement récurrent (lol!) et d'autres one shot comme La femme aux fleurs de papier, La fille dans le brouillard et bien sûr Je suis l'abysse.

5/5

A noter que son dernier roman publié en France, La maison sans souvenirs, reprend le personnage de Pietro Gerber.