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De Jim Harrisson, nous connaissons tous le formidable appétit de vivre, la délicieuse démesure et cette écriture teintée de rires et de mélancolie, toute bruissante du son clair des rivières et imprégnée du parfum subtil des feuilles mortes et des steacks cuits au feu de bois.
De Jim Harrisson, nous connaissons la truculente verve rabelaisienne et la sensualité à fleur de peau, cette sensibilité à la nature, don du vieil héritage des ancêtres indiens qui hante sa mémoire.
De Jim Harrisson, nous connaissons les excès, la solitude et l'amitié arrosée de boissons trop alcoolisées.
De Jim Harrison, nous connaissons désormais la vie ou plutôt une rélfexion de la vie : En marge, l'autobiographie du maître ...
Faerie
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Je suis femme, mon rôle est de relier les être entre eux
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