Résumé : Un soir d’hiver à Elgin Theatre de Toronto, le célèbre acteur Arthur Leander s’écroule sur scène, en pleine représentation du « Roi Lear ». Plus rien ne sera jamais comme avant.
Dans un monde où la civilisation s’est effondrée, une troupe d’acteurs et de musiciens parcourent la région du lac Michigan et tente de préserver l’espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven. Ceux qui ont connu l’ancien monde l’évoquent avec nostalgie, alors que la nouvelle génération peine à se le représenter. De l’humanité ne subsistent plus que l’art et le souvenir. Peut-être l’essentiel.
Entre l’avant et le présent, « Station Eleven » entrelace sur des décennies la destinée de personnages inoubliables. Élégie de la condition humaine, ce livre à construction vertigineuse envoûte le lecteur par sa puissance romanesque émotionnelle.
Avis : j'ai adoré ce roman, qui a le mérite de traiter de manière originale une histoire post-apocalyptique. Je ne connaissais pas l'auteur mais je compte bien me rattraper en lisant ses autres romans.