Mars 1997. Une affaire de prêts bancaires et de commissions occultes, un étrange suicide, un bureau d'études au centre de plusieurs dossiers politico-financiers, un assassinat... Tout juste nommée à la galerie financière du palais de justice, Julie Cruze découvre brutalement les règles impitoyables du pouvoir. A Lille, elle avait compris que le juge d'instruction n'était pas " l'homme le plus puissant de France ". A Paris, la " petite nouvelle " se débat dans les mailles d'un filet tendu bien au-dessus de sa tête. Tirant les ficelles : un groupe de francs-maçons pris dans la tourmente de l'élection du grand maître. Leur vocation : le secret. Leur instrument : la machine judiciaire. Surpris par la résistance psychologique de Julie, ils oseront la menacer et déstabiliser son mari. Grâce au soutien indéfectible des policiers de la Brigade financière, elle déjouera les pièges un à un et sera confrontée au secret d'Arcadia... Premier livre d'une saga judiciaire, Le Secret d'Arcadia s'inspire librement des affaires politico-financières qui défraient régulièrement la chronique en France. Véritable traité de vulgarisation de l'appareil judiciaire, pointant les dysfonctionnements majeurs de la société, Le Secret d'Arcadia est avant tout la restitution au quotidien du combat d'une juge au plus près de l'intimité d'une femme.

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L'enfer existe, et je sais maintenant que son horreur repose en ceci qu'il n'est fait que de lambeaux de paradis
Alec Covin

A ma connaissance, c'est le premier polar dans les milieux financiers. Ici, les héros ne sont pas des policiers torturés de la brigadde criminelle, mais les juges d'instruction et les policiers (tout aussi torturés) qui travaillent pour le pôle financier.
Pour ceux qui me connaissent, ils savent que c'est un milieu que je connais bien et qui m'intéresse. Et Isabelle Prévost-Desprez sait de quoi elle parle vu qu'elle est juge d'instruction dans ce même pôle. Alors, vous comprendrez mon attrait pour ce roman. Mais aussi mon inquiétude...

C'est difficile de rendre autant palpitant un roman dans ce milieu que pour un enquête criminelle. Hé bien, effectivement au début, on a du mal à démarrer mais ca vient plus du fait que les auteurs se cherchent un peu que de l'intrigue.
Au bout de 80 pages, la machine est lancée et les 2 auteurs trouvent leur vitesse de croissièren et y prennent du plaisir. Et vous vous aussi.Il faut le lire. Au moins par curiosité, il faut que vous mettiez le nez dedans.
De toute façon, une chronique devrait pas tarder ;)

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L'enfer existe, et je sais maintenant que son horreur repose en ceci qu'il n'est fait que de lambeaux de paradis
Alec Covin

Etant étudiante en droit, ce polar m'intéresse au plus point. Savez-vous si une sortie en poche est prévue prochainement?

Il va falloir attendre un peu je pense vu qu'il est récent.
Mais j'espère qu'elle sera prévue très prochainement. Il le mérite!

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Alec Covin