Mortelle Riviéra

Le couturier de la mort


Côte d'Azur.
Eté 2000. L'agent de police Marcel Blanc et l'équipe ringarde du Capitaine Jeanneaux, dit Jean-Jean, tentent vaguement - le ciel bleu, la mer et le soleil n'incitent guère à faire du zèle - de mettre un peu d'ordre dans la pagaille estivale. Malheureusement pour eux, c'est juste le moment choisi par le Couturier de la mort pour se mettre au travail et jeter dans une poubelle un cadavre pas comme les autres : tête de jeune femme, tronc d'homme adulte, bras de vieillard. Pour inaugurer cette série inédite, Brigitte Aubert porte l'humour à son apogée afin de mieux nous plonger dans les affres de l'abomination.

La suite

Descente d'organes


Le gardien de la paix Marcel Blanc, qui n'a pas oublié la triste affaire du " Couturier de la Mort ", continue d'avoir l'œil : un tueur en série est si vite arrivé ! Pas de chance, c'est encore lui qui va découvrir les corps soigneusement éviscérés d'hommes dans la force de l'âge.
Toute l'équipe du capitaine Jeanneaux est en émoi, même la très belle Lola qui ignore totalement que l'âme du "couturier" fou s'est trouvé une petite place dans son corps de jolie fliquette. En dépit des efforts de la police, l'arracheur de viscères reste introuvable. Ce gros malin vit discrètement entre son frigo rempli de morceaux d'intestins, les clous rouillés qu'il aime s'enfoncer dans le nombril, et son métier de pianiste de jazz.
Et tandis que l'enquête piétine, les cadavres sans entrailles commencent à sentir mauvais. Sur petite musique jazzy.

Les livres de Brigitte Aubert sur Plume Libre
La mort des bois/ des neiges
Funérarium
Une âme de trop
Scènes de crime

Le couturier de la mort


1 er volet de la série « Mortelle Riviere » le couturier de la mort est avant tout une parodie du genre – et on sais combien elle excelle dans ce domaine – tout y est, le tueur petit, les yeux vicieux, sourire jaunie, le gentil flic un peu paumé qui a pas de bol dans sa vie privée et en plus qui subit un chef con comme la lune ( non, non ce n’est pas une généralité ) des dialogues hilarants ou l’on ne peut s’empêché de rire même quand la situation n’est pas des plus drôle.
Dans cette histoire pas de grande claque à la fin (ouff merci Madame Aubert ça finissait par faire mal) on connaît le tueur depuis le début, ici on ne fait que prendre du plaisir avec le style, l’humour et le talent de Brigitte Aubert.

Je sens que je vais bientôt me faire une cure de Brigitte Aubert :P

Itout. Sur ma liste, à lire après funérarium! Mais là j'ai autre chose sous la dent... et ma foi, cela va crescendo!

un roman qui se lit bien même si ce n'est pas le polar du siècle. Le quatrième de couverture annoçait que l'humour était porté à son apogée. Je n'y ai pas été sensible : j'ai trouvé que les blagues (quand ils y en avaient) étaient lourdes. De l'humour beauf quoi !

L'intrigue n'est pas révolutionnaire (quoique le fait de coudre des morceaux de cadavres différents ne se rencontrent pas tous les jours et encore heureux);

Je n'ai pas trop aimé mais je pense que j'en lirais d'autres de cette auteur qui est pourtant super sympa (je l'ai rencontré aux quais du polar).

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"on est tous l'étranger de quelqu'un" Marc Lévy

Taylor si tu en as l'occasion, tente Funerarium ou encore La mort des bois.
Perso, je les ai trouvé tous deux assez excellents !!

Funérarium est celui que j'ai lu en premier et j'avais beaucoup aimé

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"on est tous l'étranger de quelqu'un" Marc Lévy