Paris la nuit - On en parle dans les médias
Paris la Nuit est un petit roman par le format, mais c'est vraiment un grand roman par l'écriture. Avec des dialogues à la Audiard, des discours qui nous prennent et qui sont percutants. Précipitez-vous !
Jean-Charles Baudet-Plazolles de La Librairie Les Mille et Une Pages à Paris, Les Coups de coeur des libraires sur LCI
Il n'y a pas de fioritures dans ce roman et l'écriture colle à la peau de ses personnages, secs et nerveux. Si l'éclairage est cru il n'en propose pas moins un regard nuancé quant à l'errance urbaine de ces pantins désarticulés.
Joël Gastellier de la librairie L'Etoile polar à Nantes, Le Choix des libraires
Ni complaisance ni glorification du gangster avec Jérémie Guez, mais quelque chose qui touche à l'équilibre entre la détresse et la façon de l'exprimer. Voici du roman noir par une génération en première ligne de ce que notre société fait subir à sa jeunesse.
Caroline de Benedetti, L'Indic
Un roman écrit à la première personne, un style qui s’apparente à un Goodis ou un Melville de la meilleure facture.
Yves Gitton, Xroads
Inutile de se jeter sur des romans anglo-saxons voire scandinaves, le style énergique et frais de Jérémie Guez fait de ce volume une découverte sympathique dans le milieu décidément très vivace du polar français.
Guillaume Dumazer, C le mag
Un récit à la première personne qui a su trouver la bonne distance pour raconter son histoire poisseuse dans la longue tradition du polar tragique goodisien ou de la veine française des petits gangsters englués dans le quotidien.
Laurent Greusard, K-Libre
Jérémie Guez est véritablement un alchimiste des mots. Il décrit avec une maîtrise déconcertante la déchéance d’un homme qui se consume de l’intérieur. Un premier roman accompli, riche de promesses pour ce jeune auteur d'à peine 23 ans.
Bruno Le Provost, Passion polar
Ne ratez pas ce roman sous peine de passer à côté d'un auteur qui pourrait bien devenir très bientôt incontournable .
Pierre Faverolle, Black Novel
Dénué de jugement moral comme de théories victimisantes - peu importe que les dés soient pipés ou non, de toute façon ils étaient jetés depuis longtemps -, Paris la nuit fait la chronique d'une dégringolade inexorable, en une centaine de pages affinées avec le savoir-faire d'un auteur confirmé.
Yann Le Tumelin, Moisson noire
Précision, concision et fulgurance sont donc au rendez-vous parisien auquel nous convie Jérémie Guez. Une promenade violente certes mais qui, débarrassée de tout moralisme, nous laisse augurer du meilleur pour un auteur de 23 ans. Seulement…
Cynic, Noirs desseins
Ce livre, court, bien écrit, est remarquable.
Hervé Sard, Polar mania
Jérémie Guez possède une très belle plume avec des descriptions absolument magnifiques de Paris, très éloignées du Paris de carte postale.
Lynchmaniac, Plume libre Lire Paris la nuit, c’est embarquer sur un bateau ivre dont les passagers savent pertinemment que le gouvernail est cassé et la coque percée et pourtant, ils voguent vaille que vaille.
Cali Rise, Impudique magazine
Un roman d'une grande intensité, tirant sa force d'une écriture puissante. Un vrai coup de coeur.
From the Avenue
Alerte et pour le moins vivant, ce court roman dégage de l’énergie et promet un auteur à suivre et à soutenir dans sa démarche littéraire. 108 pages, d’un format court et haletant qui peut se lire d’une traite sans qu’un traitre mot en sus vous gerbe à la face.
La Singette, Le Post
Une vraie réussite pour un premier roman.
Blondin, Diaspora Galactique
Pour rappel ce roman est pré-sélectionné dans la Catégorie Nouvelle Plume du Polar/Thriller Francophone des