Violet Winspear - Une petite sorcière dans l'île
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Depuis la mort de Denis, son cousin bien-aimé, Hébé a l'impression de vivre un cauchemar. Complètement perdue, elle décide de partir en Grèce, dans l'île de Petra, où elle doit rencontrer un certain Nikos Stephanos. Mais ce n'est pas une rencontre de tout repos ! Le sombre Grec a-t-il tué sa femme ? Pourquoi séquestre-t-il sa fille, la petite Ariane, dans sa vaste demeure ? Hébé est fascinée par la tragédie de ces deux êtres... Le rire renaîtra-t-il un jour dans les yeux verts de la « petite sorcière » ?
Non, je n'ai pas les cheveux, soyeux comme le pelage d'un cougar, drus et dorés (si, si, c'est vrai, c'est écrit dans le livre), et pourtant j'ai quand même lu un livre de la collection Harlequin ! Mais bon, quand on joue au guignol, on se fait piéger ! Merci qui ? Merci mes tites plumes ! Allez hop, c'est parti pour la critiquedelamortquituesarace... Que dire sur ce livre ? Hé Bé... (Z'avez vu le jeu de mot avec le nom de l'héroïne ?) Heu... Comment dire... Je cherche mes mots... Je cherche tellement que j'ai du mal à rassembler mes idées... Ah oui ! Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en commençant ce livre et du coup je n'ai pas été déçu. Qu'est-ce que j'ai ri... Quoique... Ben oui, je l'ai pris au 10000ème degré. C'est vrai qu'en prenant certaines phrases hors de leur contexte, c'est la grosse poilade. Mais j'ai aussi eu des phases d'hébétude assez impressionnantes qui auraient mérité une photo ! J'ai été surpris par les descriptions assez étranges que je ne suis même pas certain d'avoir tout compris au final, et surtout par cette insistance sur le sang pur (Jean-Marie sors de ce corps) de ces grecs païens (hou les gros vilains pas beaux) que j'ai vraiment trouvé limite par certains moments. Sinon en gros, en grèce, il fait beau, il fait chaud, le mer est belle, la terre tremble, y a même des mini tsunami, et surtout il y a deux gonzesses (une brune et une blonde) qui se battent presque pour un grand beau grec ténébreux musclé pas très gentil du nom de Nikos (ça s'invente pas des prénoms pareil chez Harlequin) Stephanos, et la plus jeune des filles (Hébé) n'est pas du tout attirée par ce grand beau grec ténébreux musclé pas très gentil, mais alors pas du tout du tout, mais à la fin, ben si, elle se rend compte qu'elle l'aime et ce depuis le premier jour... C'est y pas beau ça ? Vous voyez, je suis bien parti, mais pas trop loin quand même, dans un monde d'évasion, comme le conseille Monsieur Harlequin, le Champion de l'amour, mais j'ai hâte de retrouver mes bons vieux polars et romans de Fantasy... Si vous voulez tenter l'expérience, c'est à vos risques et périls, et je tiens à remercier ici les personnes qui m'ont fait découvrir cette expérience... Unique ? Oui, c'est le mot...
Quelques petits extraits (en spoiler, avec mes commentaires entre parenthèses) plus ou moins coquins, pour le fun, que même Stfoch est très loin du compte, car Môssieur Harlequin va très très loin ! Ouh, le cochon ! A moins que ce soit moi qui ai les idées mal placées :
[spoiler]Le petit corps fluet se pressait étroitement contre elle, comme pour chercher protection contre la dure virilité de son père.
(J'ai du mal interprêter, je pense...)
Papa me brosse les cheveux et les coiffe avant de partir travailler. Quelquefois, il les tire trop fort et ça me fait mal aux sourcils.
(Sadique !!!)
Il s'allongea sur le sable, le bras replié, dans une attitude protectrice, sur un endroit où sa chemise faisait une bosse.
(J'ai halluciné en lisant ça ! Mais rassuré vous, le Monsieur cache un chiot sous sa chemise et non ce que tout le monde a pensé... Mais ça, on l'apprend une page plus loin quand même !)
J'aurais dû le deviner : vous ne monteriez pas sans protection sur mon caïque.
(Je rassure tout le monde, un caïque est une sorte de bateau, et la protection dont il parle, c'est de la crème solaire... Rassuré(e)s ?)
En riant, la jeune fille secoua le cornet...
(Ah oui, y a la suite, ça aide à comprendre) et les dés lui donnèrent sept points.
(Ouf,on a eu peur...)
Ce fut Nikos qui s'occupa du matelot.
(pour lui servir son repas, bien entendu)
En passant les bretelles sur ses épaules nues, elle crut sentir de nouveau le contact des durs doigts masculins sur sa peau et elle ferma les yeux : elle éprovait au tréfonds de son être une torture raffinée, inconnue jusque-là.
(En fait, elle remet son maillot de bain, enfin, je crois... J'ai un doute quand même...)
- Petit chat sauvage ! Je vais vous faire ronronner, pour une fois !
(J'invente pas du tout !!!)
Daphné monta dans le taxi en exhibant largement ses jambes gainées de soie.
(No comment, ça devient chaud...)[/spoiler]